Après le journal Le Monde qui avait de publier un dossier complet sur les xénogreffes (dont nous vous avions parlé ici), c’est autour du Figaro, Ouest-France, L’Usine Nouvelle, Sciences et Avenir, entre autres de relayer l’espoir que représente la transplantation d’un organe d’un donneur dont l’espèce biologique est différente de celle du receveur (cochon, …),
Retrouvez ci-dessous les liens vers les différents articles :
- Xénogreffe : des organes de porcs génétiquement modifiés pour répondre à la pénurie en France
- Xenothera veut produire des organes de porcs compatibles avec l’homme
- Greffe d’organe de l’animal à l’homme : une approche de moins en moins rejetée
Xenothera, biothech nantaise que nous accompagnons dans sa croissance, est en 1e ligne pour apporter son savoir-faire sur les enjeux de xénogreffes.
Pour répondre à ces espoirs et ces futurs besoins, Xenothera a ainsi créé dans la région nantaise une ferme où sont élevés 500 cochons génétiquement modifiés. Cet élevage a été créé via un investissement de 7 millions d’euros dont 3,5 du fonds Plan France 2030. Après avoir sécurisé il y a quelques semaines un nouveau financement non dilutif de 4 millions d’euros, Xenothera se positionne pour devenir un acteur majeur de référence en Europe sur les xénogreffes.
𝐋𝐞 𝐛𝐮𝐭 :
Produire des anticorps polyclonaux glyco-humanisés (modifiés pour être acceptés par le corps humain) ) partir de sérum de porc, génétiquement modifié grâce à une technologie unique au monde
𝐋𝐞 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧 :
Sauver des centaines de vies de patients (en 2024, 852 patients en attente d’une greffe sont décédés).